La formation SST vise à capaciter les employés à intervenir efficacement lors d’une situation d’urgence, à prodiguer les premiers secours et à prévenir les risques au sein de leur lieu de travail.
Tout employé peut-être former pour devenir Sauveteur Secouriste du Travail. Certaines entreprises spécifiques sont tenues d’avoir un certain nombre de SST en fonction de leur taille et des risques professionnels identifiés.
La formation initiale SST dure généralement 14 heures, réparties sur deux jours. Cependant, la durée peut varier légèrement selon l’organisme de formation.
Bien que la formation SST ne soit pas obligatoire pour tous les employés, chaque entreprise doit disposer d’un ou plusieurs salariés formés aux premiers secours, selon la législation en vigueur relative à la santé et à la sécurité au travail.
Les thèmes incluent la prévention des risques professionnels, la conduite à tenir en cas d’accident du travail, les premiers secours (protéger, alerter, secourir), et la manipulation correcte des équipements de sécurité.
Oui, il est recommandé de suivre une formation de recyclage ou de maintien des acquis tous les 24 mois pour rester efficace comme sauveur secouriste du travail.
Le coût peut varier en fonction de l’organisme de formation, du lieu de formation (intra ou inter entreprises) et du nombre de participants. Il est conseillé de demander plusieurs devis.
Oui, un certificat de Sauveteur Secouriste du Travail est délivré à l’issue d’une évaluation pratique réussie.
La certification SST est principalement reconnue en France. Pour une reconnaissance internationale, il peut être nécessaire de suivre des formations complémentaires spécifiques à chaque pays ou d’obtenir une certification internationale en premiers secours.
Comment choisir un organisme de formation SST ?
Le BPJEPS APT est un diplôme d’État qui forme des professionnels pouvant encadrer différentes activités physiques et sportives destinées à tous les publics, contribuant ainsi à l’animation, à la prévention et à l’intégration sociale.
Il est généralement requis d’avoir 18 ans au minimum, de posséder un diplôme de secourisme (PSC1, par exemple), de réussir les tests de sélection spécifiques à chaque organisme formateur (épreuves sportives, entretien de motivation) et, dans certains cas, d’avoir un niveau de qualification dans le domaine du sport.
La formation dure généralement 10 à 18 mois, en fonction de l’organisation (temps plein, temps partiel, alternance) et de l’expérience préalable des candidats.
Oui, beaucoup de centres de formation proposent un parcours en alternance, permettant d’associer des périodes de formation théorique dans un centre de formation avec des périodes de mise en pratique en entreprise.
Les diplômés peuvent encadrer des activités variées telles que des sports collectifs et individuels, des activités de loisir, des activités de bien-être, etc., auprès de différents publics (enfants, adolescents, adultes, seniors).
Les diplômés peuvent travailler dans différents structures comme les centres de loisirs, les associations sportives, les clubs de fitness, les maisons de quartier, les collectivités territoriales, ou en tant qu’auto-entrepreneurs.
Les coûts peuvent varier en fonction de l’organisme formateur, de la région et du mode de formation choisi. Certains candidats peuvent bénéficier d’aides ou de financements par des dispositifs spécifiques (Pôle Emploi, OPCO, etc.).
Les inscriptions se font généralement directement auprès des organismes de formation proposant le BPJEPS APT. Il est conseillé de se renseigner bien avant la date souhaitée pour l’entrée en formation car les places peuvent être limitées.
Chaque spécialité du BPJEPS forme à l’encadrement de disciplines ou de types d’intervention spécifiques. La spécialité APT se distingue par son orientation vers une offre d’activités physiques diversifiées et accessibles à tous les publics.
Comme pour la plupart des diplômes spécifiques à un pays, sa reconnaissance à l’international peut varier. Néanmoins, les compétences acquises sont transposables et peuvent être valorisées, surtout au sein de structures françaises à l’étranger ou dans des pays ayant des accords de reconnaissance mutuelle.
